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sicituradastra

15 août 2018

Retour aux sources mexicaines ou les aléas du

Retour aux sources mexicaines ou les aléas du repassage.........

 

Je ne sais plus si c'est de la nostalgie ou ce fameux hasard objectif qui m'a embarquée au fil des pages de mes blogs ( environ une heure à parcourir mes différents blogs avant de trouver le dernier en date - le fameux sicituradastra) toujours est-il que je constate, surprise quand même, que j'ai consigné beaucoup de choses pendant et sur le Mexique ( certaines peut-être a posteriori d'ailleurs, mais dans un a posteriori proche, parce que, aujourd'hui je serais incapable de me souvenir de certains éléments) . J'y reviendrai sur ce Mexique pendant qu'il est encore temps !! plus de 10 000 photos à commenter .

Pourtant et au diable les distorsions chronologiques, je vais commencer par évoquer ce Mexique, non pas celui d'il y a 10 ans - il y a dix ans , j'en revenais !!!- Non un Mexique sans déplacement aucun. Vu hier, le 13 août, un document sur la 5 et restée ébahie devant des beautés que j'aurais pu , moi, prendre en photo, la qualité en moins bien sûr! . L'envol des Monarques dans la Sierra Madre, mais aussi la fécondation des orchidées par les abeilles mâles qui vont chercher de quoi se parfumer pour séduire les femelles ( les Stanopea, ces orchidées qui ne fleurissent qu'un seul jour par an et qui dégagent un parfum envoûtant semblable à celui de la cannelle fraîchement moulue) ou bien encore le Quetzal resplendissant, Oiseau sacré des Aztèques, qui perd sa longue queue-plume jusqu'à ses prochaines amours....Des couleurs fabuleuses, un enchantement total !

Comme je voudrais retenir tous ces noms qui me subjuguent, me poussent à farfouiller dans les dictionnaires, à rechercher des images ( vive le web!) . Il me faut repousser les limites du temps, organiser ma vie de manière à ne plus me laisser polluer, empeser par les problèmes d'intendance, les querelles de familles , pour amasser tels des trésors les mots des créatures, cette faune et cette flore étranges qu'un jour, j'espère, on me laissera transmettre à Maêl et Mila.

A qui raconter tout cela sinon ? Je sais que Nicolas raconte déjà un tas de petites histoires de vie , d'animaux, de fleurs et de cailloux à ses deux petits. C'est une grande consolation qui compense la crétinisation ambiante.Comment ne pas être curieux de tout quand on a , à sa disposition des trésors de connaissances ? Il manque en effet à tout cela , à toute cette curiosité un débouché, un estuaire qui rejoindrait la mer du savoir humain.

Mardi dernier, j'étais à Beaulieu sur mer et le hasard objectif m'a fait rencontrer à la Villa Kérylos - que je visitais et que j'évoquerai dans une page prochaine-  trois charmantes dames ( l'une plus charmante et évanescente que les autres ) qui m'ont fait l'honneur et l'immense plaisir de me mitrailler de questions à propos de mythologie et plus particulièrement autour de Thésée, Ariane et Phèdre. Bonheur de la transmission.Et là, j'étais dans mon élément.

J'y reviendrai dans quelques heures, tout au plus........

A très bientôt donc, le bonheur d'écrire.....

 

 

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8 juillet 2018

40 ANS !!!!!!

A qui désormais livrer quelques états d'âme ?

Aujourd'hui est un jour très important : il y a 40 ans, je signais un papier, en toute candeur ( dans ce contexte ce n'est pas une qualité!! ). Depuis.......... la vie ........

Le bilan n'est pas terrible: au jour d'aujourd'hui, avec la fuite du temps et à une époque où les mentalités se construisent de trahisons en lâchetés, je n'intéresse plus mon fils, pourtant si complice et si aimant: l'air du temps sans doute et aussi un très mauvais accompagnement ont rompu ce lien pourtant si fort. Il va falloir apprendre à vivre très éloignés l'un de l'autre: j'ai dû faire le triste constat que nous n'avons plus grand'chose à partager.

Je reste une mamie comblée:un merveilleux petit bonhomme de 4 ans et demi et un petit bout de mémère toute en malice, caprices et sourires et qui ressemble furieusement à sa grand-mère.........Ils sont ma force de vie même si ma relation avec eux est très strictement "encadrée"........

J'ai encore beaucoup d'énergie à donner et j'entends bien la faire fructifier loin des concessions lâches et ordinaires.

Et puisque'aujourd'hui sur un bilan que je veux le plus lucide et honnête possible, je ferme la porte sur 40 ans d'intégral échec conjugal,( mais j'ai eu de superbes réussites d'amours autres) je veux prendre un nouveau départ ( encore un ????!!!). Oui, l'essentiel étant de vouloir repartir.

Je suis installée sur le bacon de mon petit appartement avenue de Genève ( les photos suivront, je n'ai pas retrouvé le chemin idéal pour les insérer) et je me suis enfin ( tout arrive ! ) autorisée à disposer de mon temps comme bon me semblait et à ne plus quémander l'assentiment de la terre entière lorsque j'entreprenais quelque chose. Résultats: au milieu des chagrins, quelques embellies prometteuses d'espaces de sérénité.

Je viens de lire un petit "opuscule" - aurait dit un vieux collègue fâcheux, parasite de voyages scolaires-, extrait de l'oeuvre de La Duchesse de Beauvouard, "l'Age de la discrétion": que de rapprochements possibles, que de similitudes quant au désappointement de voir son fils suivre une route aux antipodes ce celle rêvée par la mère, que de communion d'interrogations et de "ressentis" sur le vieillissement , la mise au ban progressive de la pensée et de la mémoire vive.

Et pourtant ce Blog nouveau départ ne se veut pas compilation de jérémiades, bien au contraire: il y a des choses et des êtres tellement surprenants et beaux à découvrir ! L'important étant de ne pas se laisser parasiter par les briseurs de rêves et autres verreux.

Je fonds dans la plus polysémique acception du terme ( même sous mon beau parasol offert par mon fiston jadis et à titre incitatif) à écouter Wicked Game de Chris Isaak tout en écrivant . Merci quand même Youtube de constituer rapidement le profil adapté - au vu des demandes précédentes- et de faire surgir les Bernard Lavillers, Aragon, Bashung,les Paradis perdus de Christine and the Queens et autres mélodies qui sont autant d'invitations à s'abandonner dans des bras qui n'ont que le défaut d'être imaginaires.( mais là aussi tout est possible: ne jamais s'adonner à la désespérance ! ) 

A propos de Youtube ( décidément l'écriture est vagabonde et buissonnière) la pièce que nous avons jouée à l'Auditorium de Meythet " La Fiancée de Papa " est sur Youtube pour "notre gloire ou notre humiliation" comme dit Adrien -Lionel mon gendre dans la pièce.

J'y incarne une belle-mère, version Mama italienne , vénale en tous points et qui veut marier sa fille à tout prix! Tiens ! ça me rappelle quelque chose et en particulier aujourd'hui ( sur fond de Nothing Else Matter de Metallica cette fois-ci).

La boucle est bouclée: j'en reviens à l'ordre commémoratif du jour !!! 

Je m'étais dit que le temps de l'écriture durerait le temps de la trajectoire du soleil jusqu'à mon bras. Il va être temps que je ferme mon PC: l'eau du lac m'attend: planning "anniversaire revu et corrigé" oblige : pourquoi m'imposer ça?  pour retrouver le goût des plaisirs et sensations oubliés.......le procédé est plutôt simple.....El Condor pasa à la flûte de Pan........Je reviendrai bien sûr sur tout ça .....avant un petit dernier "the sound of silence".........et tout ça sans tristesse, avec comme un vent de sérénité: la force de l'âge sans doute....A plus!

26 décembre 2017

Plus d'un an après........... Qu'en est-il de mes

Plus d'un an après...........

Qu'en est-il de mes résolutions qui sont pourtant autant d'envies.....?

J'ai relu rapidement le dernier message en date de novembre 2016.....

Depuis, pour faire bref,

- la naissance de la petite Mila le 28 novembre.

- Puis des épisodes "médicaux": une véritable histoire de fous qui m'a conduite assez rapidement vers un diagnostic de septicémie et à une lourde opération  de la cuisse gauche ( j'y reviendrai sans doute au cours d'un "réquisitoire " contre la "gente des chirurgiens")

- Entre temps une très belle histoire d'amour. Au début, tout au moins. Un grand et fort Amour qui ressurgit au bout de trente ans et qui met le feu dans mon coeur. Métamorphose: le coeur bat la chamade, j'ai des ailes, je rajeunis, je fais des projets alimentés par des connexions quotidiennes avec Bangkok. La question du vivre ensemble virtuel est posée: un fiasco, pourtant on s'y serait cru vraiment, le bouton de la cafetière allumé ensemble à 15000 km, les trajets en voiture accompagnés, puis la précipitation pour trouver un appartement pour les visites annéciennes.Puis, peu à peu, une routine insupportable, posée, avec un air de définitif, trop bien huilée, trop bien rangée, impossible en proportion de la passion qui m'animait. J'ai dû lui faire peur avec mon énergie décuplée, mes élans et mes ferveurs quand on est, comme lui, revenu de tout et de tous. Je reprends à mon compte avec quelques retouches cette belle phrase de Reverdy " l'Amour est à la vie ce qu'est le feu au bois: Pendant un moment, un court moment, Il pare la vie de toutes les combustions et des incandescences. Il est la forme la plus ardente et la plus imprécise de la vie.......Puis, la cendre". Ensuite, c'est un mot de rupture pendant que j'étais particulièrement mise à mal à l'hôpital, et un silence d'abord épouvantable, puis ressenti d'une cruauté inouïe et aujourd'hui vraiment sibyllin.La cendre, mais de celle capable de brûler encore, non pas du feu de la passion, mais de la brûlure de la déconvenue et d'une certaine injustice.

Mais comme il est dans ma nature profonde de rebondir:j'ai fait le bilan, j'y ai gagné d'avoir finalisé ma décision de quitter la maison familiale ( j'en reparlerai) , aidée en cela par la vente d'un terrain à la Roche et d'avoir balayé de lourdes entraves psychologiques. Cet épisode thaï m'aura donné la chance de flirter avec l'impossible et d'y avoir fixé très près mes exigences.Aujourd'hui, je sais les réponses sentimentales qu'il me faut et ne désespère pas de rencontrer l'âme soeur qui saura apprécier avec moi , dans une tendre complicité, la symphonie d'un coucher de soleil au bord du lac.

L'année s'achève et je veux me donner toutes les chances de finaliser mes résolutions pour 2018: prendre le temps d'écire, d'écrire encore et d'y revenir, pour les mots, pour la sorcellerie évocatoire, pour la force des sons et l'éternité des émotions qu'ils font sans cesse renaître. Le temps passe et j'ai laissé manger, aliéner, parasiter cette première année de retraite par tous les problèmes satellites. Il est grand temps que je pense un peu à me faire plaisir, même si je n'ai plus la force d'une révolution intégrale. Ne plus se laisser envahir, manipuler, avaler: évidemment avec de tels objectifs, on devient moins tolérant, moins indulgent envers la connerie humaine. Mais la volonté d'avancer s'en trouve renforcée lorsqu'on finit par acquérir quelques confiantes certitudes et notamment celle qui consiste à penser que le ciel est à tout le monde et qu'on n'a pas à payer le prix fort pour respirer l'oxygène qui nous revient de droit.

Les alertes de santé se multiplient et il s'agit de foncer mais sans oublier de réfléchir.

Je compte bien ainsi alimenter ce dernier blog "SIC ITUR AD ASTRA" et y emprunter les chemins buissonniers en postant quelques commentaires sur le temps comme il va...

Pour les jours qui viennent, il y sera question de rires d'enfants, d'atmosphère glauque de silence précédant la mort, de théâtre, de femmes étrangères- belles personnes, de désir et de désamour et au menu du futur le plus proche: un petit épisode RB&B pour le 17 novembre.

26 décembre 2017

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14 novembre 2016

REPRISE

On bat le fer pendant qu'il est chaud....Je reviens à mes mots, mes confidences.......Les mois se sont écoulés: il y a eu la tragédie, la mort de Jaja, l'exclusion, la retraite ( j'y reviendrai sans doute) un été, une escapade parisienne, beaucoup de pages tournées dans lesquelles les souvenirs vont nécessairement se fossiliser et puis il y a aujourd'hui.....

13 novembre 2016: on n'oublie pas le souvenir de tous ces morts de la folie des hommes au Bataclan.....

 MAIS mes enfants et mon petit Bonheur sont venus fêter par anticipation mon anniversaire......

C'est une journée merveilleuse que je veux prendre pour point de départ d'une nouvelle vie.

Le temps était pourtant grisaille ce matin, mais il y a eu tellement d'amour, de petites choses, de regards, d'attentions autour de cette cheminée où , à l'instigation de Nico, nous somme tous allés chercher dans le passé des ancrages sur lesquels il nous faudra revenir.

Nico est parti à la recherche de ses racines et je vais mettre toute mon âme à lui faire pousser les branches de cet arbre qu'il veut léguer à ses enfants...

ça c'est une première chose.......à développer bien sûr.

Et puis mes cadeaux sont là pour me rappeler ma nouvelle vie et toutes ses composantes:

- un merveilleux dessin de mon petit Bonheur " C'est moi qui l'a fait tout seul" accompagné de la chanson d'anniversaire ( un délicieux mot d'enfant dans l'après-midi alors qu'on passait un Bashung: "Dis, Mamie, c'est ça ta chanson d'anniversaire, je la connais pas ......"Trop mimi et qui résume si bien le temps qui passe...)

- les souvenirs : le dernier Léonard Cohen décédé vendredi 11 novembre. Il y a deux jours justement j'avais écouté en boucle les Suzanne et The Stranger mythiques qui m'avaient rappelé que mes vingt ans étaient toujours quelque part dans mon esprit, ni révolus ni douloureux, mais vigilants.

- les mots: un magnifique livre d'âme dans le style à mi-chemin des grimoires anciens avec quelque chose des vieux livres de contes qu'aurait affectionnés Arthur. Couverture mordorée en relief dans les tons écarlates et mauves que j'aime tant.Dans les dernières pages, une dédicace de Nico ( au nom de sa petite tribu) et qui m'invite à déposer dans le mitan des pages les mots que je veux convoquer et faire danser pour y marquer la vie dans tous ses états. J'ai déjà eu, pour le dernier Noêl, un superbe stylo qui a souvent mis du baume à mes mains arthrosiques. Il me reste à fiancer les deux pour y inscrire les nuances ( "oh  la nuance seule fiance  le rêve au rêve et la flûte au cor") des moments doux ou plus sombres mais qui nourriront mon existence et ma pensée. Ecriture du coeur, de l'âme et aussi du corps parfois puisque voici l'heure où il ne devient guère possible de faire abstraction de sa carcasse. Une petite chouette marque page pour un clin d'oeil d'harmonie retrouvée entre une belle-mère et la très proche future maman d'un deuxième bonheur imminent.

- des cadeaux douillets pour le confort : large chausson double pour y glisser les deux pieds devant la télé ou le soir au coin du feu et couverture toute douce pour l'accompagner.

- Un très original bouquet de bonbons.....

Comme on était bien ensemble!

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loin du fiel et des jalousies des rassemblements familiaux habituels!! Il devient donc possible de se dire que ça existe, que la perspective de ces instants sereins peut devenir le moteur de créations culinaires, de décos inventives, de préparations attentionnées qui contribueront au bien-être de tous.....enfin. Il m'aura fallu plus d'un demi-siècle pour goûter ce bonheur-là qui est un vrai bonheur........

 

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3 mars 2016

Le mot orchidée a une étymologie étonnante : il

Le mot orchidée a une étymologie étonnante : il vient du grec orchis qui veut dire testicules. En effet, les tubercules de certaines orchidées ressemblent à cette partie du corps.

D'autres mots ont la même étymologie : par exemple, les individus cryptorchides ont leurs testicules situés dans leur abdomen.

Voilà où me conduisent mes recherches d'helléniste! J'avais trouvé tout un dossier sur les étymologies grecque et latine de la botanique avec un petit programme adapté à des élèves curieux, quand mes pas m'ont conduite vers la vérification de l'étymologie du mot "orchidée" et par la même occasion je me suis inscrite sur le site " je me coucherai moins bête ce soir

Visite du site Hélios que j'ai souvent consulté: une redécouverte de la démarche pédagogique originale proposée par Dominique Augé autour de la villa KERYLOS que nous allons visiter fin mai de cette année en voyage scolaire.Se souvenir des propositions d'applications exposées dans ces pages.

Sur un plan plus personnel, j'ai passé cette journée du 3 mars avec mon Petit Bonheur, comme d'habitude tout en calins et tendresse.Longs moments de plénitude, protégés par le mur de la neige silencieuse et ouatée  qui nous coupait du monde. Mais comme ça fait du bien de temps en  temps.

Et le soir, quand on le redescend vers ses parents, il reste comme un grand vide, une absence.

 

En ces temps de préparation d'un point final inévitable, réclamé de tous mes voeux pour quitter cette Institution que je ne saurais supporter plus longtemps et en même temps source d'angoisse quand on considère cette fuite du temps et le caractère irréversible des choses de la vie. Et comme par hasard, c'est à ce moment-là que je découvre "l'infinitude" des richesses du savoir offertes par la toile et qui m'auraient sans doute brûlé quelques nuits à parfaire je ne sais quel document pour épater mes ouailles blondes et brunes. Les profs n'ont jamais eu autant de moyens à disposition pour transmettre le savoir et aussi peu d'attention, d'écoute et de retour dans l'exercice de leur métier.

ça brasse à l'intérieur; des opacités qui deviennent des évidences et de grandes marges d'incertitude, à la fois nécessaires ( surtout ne rien rendre définitif, le temps s'en charge déjà bien ) et un peu angoissantes si l'on considère les choix autorisés par la perspective d'un temps nouveau sans contrainte et à disposition.

A la fois enchaînée par le temps révolu et ouverte et disposée à une infinité de possibles...........Plus que jamais il va s'agir de considérer le verre à moitié plein et de marcher résolument vers les étoiles."sic igitur ad astra"...

19 février 2016

Ce n'est qu'un début.........

Parce que le temps passe et la rapproche d'une vie nécessairement nouvelle, la quasi-retraitée que je suis veut bâtir un séjour de mots, de textes, de lieux magiques et d'émotions magnifiques qu'elle convoquera pour les jours de blues.Elle se permettra aussi de laisser libre cours - autant que le respect le commande- à quelques sautes d'humeur, bien nécessaires elles aussi pour ne pas se trahir.

Réagir au monde, cultiver la vigilance pour préserver sa liberté et celle des autres, se maintenir en état d'éveil et sauvegarder la curiosité des choses, cultiver la fantaisie qui rend la vie plus belle et les coeurs bienveillants et construire ainsi une sérénité bien utile: voilà pour le programme..........

Et si les mots et les humains  que j'aime ( oui j'arrête de jouer à César et sa 3ème personne) en viennent par le hasard de la toile à croiser d'autres mots et d'autres humains pour devenir plus forts, ce sera tant mieux ! 

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